vendredi 31 octobre 2014

18ème jour. Au revoir Bali.

Vendredi 31 Octobre 2014

Départ de Dempasar, au revoir Bali, 

jeudi 30 octobre 2014

17ème jour. Adieu Sumba, la séparation est douloureuse.

Jeudi 30 Octobre 201

9h30, départ de l’hôtel, avec beaucoup d’émotion et de regrets. Nous laissons derrière nous, un endroit paradisiaque, des gens adorable, très attentionnés, un service impeccable, au-delà de nos espérances. 



Nous allons leur faire une méga publicité. 19h15, aéroport, formalités d’embarquement, 12h, décollage. 13h30, atterrissage à Denpasar, chaleur écrasante, et foule dense. On avait perdue l’habitude. Puis hôtel, récup des bagages, on est un peu en surcharge. Un petit MacDo, dernière course, massage, resto Italien, « Little Italia », et dodo, on bouclera les sacs demain matin.

mercredi 29 octobre 2014

16ème jour. Découverte de l'ile.

Mercredi 29 Octobre 2014


C'est la saison sèche, il fait très chaud, les sols sont arides.


Ici, le cheval est roi, mais il a du mal a ce nourrir.


Les courses de chevaux sont très populaires. Ils sont monté sans selle, par des adolescents.


Les villages traditionnels sont fortement vidé de leurs habitants, car les conditions de vie y sont très rudimentaire. Ils sont assez éloigné des petites agglomération et difficile d'accès, surtout en saison des pluies. Les populations se rapprochent donc des centres urbanisés, surtout pour la scolarisation des enfants qui est obligatoire, qu'elle soit Chrétienne ou Coranique. 


Ces peuples ancestraux, sont de culture Animiste. Ils vivent parmi leurs ancêtres, qui sont placés dans des tombes énormes, au milieu des villages. Les morts sont inhumés verticalement, en position assise, enveloppés dans des Itaks, « grands draps tissés », sous de très massives pierres taillées, surmontées de colonne de pierre très joliment taillées. Ces tombaux sont très ancien, et personne ne connait les techniques employées pour surélever ces énormes dalles.






L'habitat est collectif. Dans ces immenses cases, vivent jusqu'à 3 ou 4 familles. 




La vie et la richesse des défunts sont immortalisés dans ces sculptures de pierre.


Le picnic, préparé par notre chauffeur, se fait sur une immense plage, déserte, eau transparente, couleur d'émeraude, à 32, 33°, sable coralien blanc, jonchés de magnifique coquillages.






On a vraiment du mal a réaliser qui tout cela est vrai.


A notre grande surprise, la direction de l'hôtel nous a décoré un endroit de la plage, et nous a offert le dîner. Beaucoup d'attentions, beaucoup d'émotions ont accompagnés cette soirée idyllique.



mardi 28 octobre 2014

15ème jour. Waingapu, une ville hors du temps.

Mardi 28 Octobre 2014

9h00, petit déjeuner sur la plage, puis, départ avec le véhicule de l’hôtel. 



Visite du centre-ville, et du vieux port, d’un autre âge. 



Pour ceux qui connaissent, remémorez-vous : Les secrets de la mer rouge, d’Henry de Monfreid. C’est quand même fabuleux de pouvoir vivre en réel, dans sa vie, les livres d’aventures, qui ont passionné notre jeunesse. Dans beaucoup d’endroit dans le monde, les lieux décrits dans ces livres, n’ont pas ou presque pas changés. « Séquence romantique et émotionnelle ». Visite d’une petite fabrique artisanale de tissage, les Ikats, c'est la première activité de Sumba, les methodes sont ancestrale. Puis on rend visite à un particulier qui vend des « Parangs ». Grand couteau, que portent les habitants des villages, à la ceinture, aujourd’hui, surtout dans les grandes occasions. La négociation est tendue, mais j’obtiens le prix que je mettais fixé. 



Puis visite du marché, beaucoup de produits exotiques et d’épices. 




Tous les regards se portent sur nous, très souriant, faut dire que les touristes sont très rare ici, d’ailleurs, depuis que nous avons débarqué sur cette île, nous n’avons pas encore vue d’occidentaux. Nous sommes les seuls. 



Les bus locaux sont très curieux, très décorés, hauts en couleurs, mais vaut mieux pas monter à l'intérieur.


Retour à l’hôtel. Déjeuner léger, sieste au frais, baignade dans la mer tiède. Tea time, 







17h, départ pour la visite d’un village typique de Sumba. 






Ces villageois cultivent de petites vallées verdoyantes, creusé par de petites rivières, dans des grands plateaux secs et arides.


Leurs conditions de vies sont très précaires et rustiques, voire moyenâgeuse. On doit leur laisser quelques billets, pour les photos prisent. Retour à l’hôtel, promenade sur la plage, à la recherche de coquillages, Internet, diner, et dodo.

lundi 27 octobre 2014

14ème jour. Sumba, l'ile sauvage.

Lundi 27 Octobre 2014

9h55 Décollage de Denpasar pour Waingapu, ville principale au nord de l’ile de Sumba.



1h30 de vol, avec cet ATR 72.


11h30, atterrissage. Aéroport de Waingapu,  c’est une bourgade pauvre qui se développe.



 Ici, pas de building, pas de grand bâtiment, que des maisons basses au toit en tôle ondulées. Il fait 36°, sol aride et sec, la saison humide ne commence qu’en Décembre.
Le responsable de l’hôtel est venu nous chercher, nous sommes à 45 kms de l’hôtel. Après 45 mn de route très étroite et défoncée, nous arrivons sur un coin pommé de la côte, petit îlot de verdure, au bord d’une grande plage de sable blancs. Une publicité pour voyagiste. 



Nous sommes les seuls clients, c'est la basse saison.



Accueil très sympa et chaleureux, tout est construit et décoré avec les matériaux environnants. Bois et coquillages. 





Après un déjeuner simple, nous profitons de la plage, bronzage à l’ombre des parasols, baignade dans une eau à + de 30°, avec teeshirt et bandanas. Et oui, ici on ne grille pas, on brule. Oublions les clichés. 




Enfin une très belle plage et surtout propre, assez rare dans les mers du sud. Sieste et contemplation serons notre activité principale de l’après-midi. 




Le petit déjeuner se prend là, c'est traumatisant.


Bref, Une île sous le vent, comme on en rêve.
Diner dans la fraîcheur des tropiques, poissons grillés, et bière, les alcools sont hors de prix. Une bouteille de rosé de Bali, 30€ = 450 000rp, et les cocktails sont aussi sans alcools, ça casse un peu le mythe et le plaisir.
Dodo dans notre bungalow plein de charme, bercé par le bruit de la mer toute proche.



 A demain.